Contenu

IMMpact

Résumé
En visionnant des bobines super 8 retrouvées dans un cratère d’astéroïde au nord de la Sibérie, la journaliste Liza Andrée découvre un homme qui se filme sporadiquement durant son périple en direction de l’Arctique. Au fil des jours, l’homme semble de plus en plus incohérent, comme paranoïaque. Liza décide de partir sur ses traces, accompagnée par une petite équipe de tournage. Extraits d’enregistrements audios, de comptes-rendus d’interrogatoire, et d’articles de presse laissent planer un doute constant entre fiction et réalité, invitant le lecteur à reconstituer le film des évènements. Mais quel film en vérité ?
Durée: 5h. 24min.
Édition: Lausanne, Plaisir de lire, 2024
Numéro du livre: 76444
ISBN: 9782883872257

Documents similaires

Lu par : Fabienne Franzi
Durée : 4h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 77804
Résumé:Sarah Popp, écrivaine, est en Lituanie pour un festival de littérature. Son séjour prend un tour imprévu quand, à cause de la neige, le vol de retour est annulé, puis qu’elle tombe sur monsieur Anders, son ancien voisin. Ce vieil homme aussi tendre que fou n’est pas là par hasard: il l’a traquée pour la convaincre d’écrire sur une chose qui lui est arrivée, il y a bien longtemps, dans la petite ville où elle a grandi. Sarah refuse. S’engage alors une virée rocambolesque dans la forêt lituanienne.
Lu par : Arlette Martin
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22414
Résumé:" Un matin, l'envie me prenant de faire une promenade, je mis le chapeau sur la tête et, en courant, quittai le cabinet de travail ou de fantasmagorie pour dévaler l'escalier et me précipiter dans la rue. Dans l'escalier, je fus croisé par une femme qui avait l'air d'une Espagnole, d'une Péruvienne ou d'une créole, et qui affichait quelque majesté pâle et fanée. Pour autant que je m'en souvienne, je me trouvai, en débouchant dans la rue vaste et claire, d'une humeur aventureuse et romantique qui m'emplit d'aise. Le monde matinal qui s'étalait devant moi me parut si beau que j'eus le sentiment de le voir pour la première fois... " En racontant tout uniment une journée de flânerie, du matin jusqu'au soir, entre ville et campagne, Robert Walser donne là son texte le plus enjoué, le plus désinvolte et le plus malicieusement élaboré. Changeant sans cesse de perspective, sautant d'un style à l'autre, poussant parfois la parodie jusqu'à l'abnégation, ce petit journal sentimental et cocasse, avec son inimitable mélange de naïveté feinte et de vraie candeur, est non seulement une confession, mais un véritable art poétique, et un chef-d'oeuvre du nouvelliste.
Lu par : Fabienne Franzi
Durée : 6h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 75052
Résumé:Novembre 2021. Trois femmes qui ne se connaissent pas se promènent au bord du Léman. Sophia, la belle quarantaine finissante, rêve à un correspondant internet qu’elle s’apprête à rencontrer, déjà évaporée dans un délicieux septième ciel amoureux. Nisha, éditrice dans un grand groupe médiatique, entame la soixantaine; à la suite d’une brillante réussite professionnelle, elle espère acquérir un voilier, se voit gîter sous Lavaux avec des amis. Juliette, une jeune graphiste à qui un cancer du sein a été diagnostiqué, tente d’apprivoiser la perspective d’une mutilation suivie d’une chimiothérapie. En juin 2022, qu’auront-elles fait de leurs vies? La sagesse chinoise du Yi Jing enseigne qu’il faut s’entraîner à franchir les ravins. Car nos existences, personnelles comme collectives, ne se déroulent pas comme imaginé, en nous confrontant à une succession de bonheurs, d’élans, de chutes, d’obstacles, de ravins, de défaites, de victoires…
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 22904
Résumé:À l'heure où l'industrie de la musique est engagée depuis le début des années 2000 dans une mutation historique, à l'heure où l'âge du disque est en train de se clore, cet ouvrage fournit un éclairage indispensable pour en comprendre les enjeux à la fois techniques, économiques et culturels. Mondialisation du marché, formation de grands groupes multimédias, rapports entre majors et indépendants, évolution des techniques d'enregistrement, métissages des musiques du monde entier, mutation des formes de l'écoute, autant de problèmes qui gagnent à être analysés ensemble et replacés dans une perspective de long terme qui permet de mettre en évidence les changements profonds provoqués par l'apparition du disque dans le rapport qu'entretiennent les sociétés contemporaines avec la musique. C'est pourquoi il sera question ici à la fois de l'histoire des techniques, depuis le cylindre jusqu'au MP3 en passant par le 78 tours, le microsillon et le disque compact ; de l'histoire de l'industrie du disque, avec ses studios, ses ingénieurs du son, ses directeurs artistiques, ses producteurs ; de l'histoire des musiciens, qui ont vu les conditions d'exercice de leur art bouleversées par l'apparition de l'enregistrement sonore ; de l'histoire des publics enfin, dont on oublie trop souvent à quel point leur manière d'écouter la musique a, elle aussi, beaucoup évolué depuis le phonographe à pavillon jusqu'au baladeur numérique. Cette histoire foisonnante sera évidemment l'occasion de croiser chemin faisant les nombreux artistes, qui, tous styles confondus, ont contribué à faire de l'enregistrement musical un moyen majeur de diffusion de la musique : Enrico Caruso, Michael Jackson, Glenn Gould, les Beatles, Miles Davis, Charles Trenet, Elvis Presley, et bien d'autres.
Durée : 7h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20806
Résumé:L'histoire que nous raconte Joëlle Stagoll parle d'enfermements, au pluriel. Celui de la prison, celui du repli sur soi, celui de la société qui exclut, qui condamne, qui met au ban. Mais aussi celui d'un amour où les deux protagonistes choisissent de s'enfermer pour échapper à la cruauté du monde. Ils se sont rencontrés brièvement pendant leur enfance et se retrouvent adultes, dans des circonstances impossibles : lui, souffrant d'un léger handicap, est incarcéré pour un crime dont il ne se souvient pas ; elle est l'auxiliaire qui l'aide à faire sa toilette deux fois par semaine. Mais voilà : ils ne peuvent pas se parler. Ils se racontent alors " dans l'absence ", chacun nous offrant sa vision du monde, son ressenti, ses espoirs. Jusqu'au jour tant attendu où il sort enfin de prison. Elle l'accueille chez elle, mais lui est tombé dans une profonde apathie qui constitue le suspense final : sera-t-il capable d'en sortir, sera-t-elle capable de l'en faire sortir pour enfin vivre leur amour ? L'huître nous livrera-t-elle enfin sa perle ?
Durée : 5h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29966
Résumé:Deux jeunes femmes se rencontrent sur une plage près de Venise. Lucrèce est tisserande, elle est née en Ethiopie. Cornelia est harpiste, son fils est né d'un père éthiopien nommé Tafari. Les parents de Lucrèce ont fait le choix de quitter l'Ethiopie et de rentrer en Italie au moment de la guerre civile. Tafari a fait le choix inverse : il a quitté Venise pour retourner au pays, convaincu de son devoir de citoyen et de fils. Des choix contraires qui vont marquer à jamais les vies de Cornelia et Lucrèce, liées à un pays commun qui n'est pourtant pas le leur : l'Ethiopie. A travers la douleur et la tristesse, mais aussi au travers de grands et de petits bonheurs, chacune avance dans sa propre vie en appréhendant l'Histoire qui se déroule en toile de fond.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 2h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20797
Résumé:« Depuis le jour du départ de P, j'ai comme un bourdon dans la tête. Un bourdon, cette note tenue qui ne s'arrête jamais. Comme dans la chanson de Camille. Parfois étouffée par d'autres sons au point de devenir inaudible. Mais toujours là. » Dans la douleur d'une séparation amoureuse, la narratrice retrouve un article qu'elle avait écrit sur une nouvelle de Balzac. Au récit intime, auquel s'ajoute une enquête sur l'écriture de soi, vient alors se nouer l'analyse littéraire, dans un rapport de quasi nécessité. Récit, enquête, analyse s'enrichissent, se soutiennent, s'expliquent. Car à chaque fois il est question d'image, d'images volées, envolées, brisées.
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20767
Résumé:Canicule Parano aborde le thème de la déréliction, un état d'abandon profond et métaphysique. Ce sentiment est, toutefois, physiquement vécu par un personnage, Maxence, qe l'on suit sur un peu plus de vingt-quatre heures à Berlin. Le texte peut se lire sur deux plans ; il y a le récit de fond, la recherche du sens (sens de la vie) chez des personnages en roue libre, chez des êtres qui n'ont pas su « creuser leur sillon » et, en surface, Berlin racontée au cours d'une promenade par une après-midi pesante d'été caniculaire.
Lu par : Louis Bonard
Durée : 2h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20701
Résumé:La Combustion humaine, c'est la trajectoire de Jacques Vaillant-Morel, éditeur genevois, engagé dans une lutte pour la survie et la reconnaissance. Immergé tardivement dans le "milieu littéraire", Morel s'y trouve comme un poisson dans l'eau : confortable et en sécurité, pour autant qu'il ne remonte pas à la surface ou qu'il n'échoue pas à l'extérieur... Solitaire, il évite les contacts humains. Internet et les réseaux sociaux se révèlent des alliés précieux, lui permettant de finaliser un livre et de le promouvoir sans sortir de chez lui. Mais La Combustion humaine est aussi une comédie, mettant en scène le milieu littéraire, avec ses mesquineries, ses rancoeurs et ses luttes intestines. Auteurs, éditeurs, libraires, journalistes, personne n'est épargné. Le regard de Vaillant-Morel est aussi lucide qu'impitoyable.
Durée : 2h. 29min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20632
Résumé:"Odette, figure locale et revendeuse de cocaïne ; Daniel, ouvrier à la petite semaine ; Jean, assassin en fantasmes. Un jour de tempête, dans le huis-clos sinistre d'un village du nord québécois, deux hommes et une femme prennent part à une tragédie ordinaire. Le triangle qu'ils forment se gonfle, ses arêtes se tordent, se brisent. Amoureux, silencieux, angoissés, ils avancent à tâtons. Notre-Dame-de-la-Merci, c'est le théâtre dans lequel les personnages sont prisonniers. De l'extérieur, tout semble déjà joué. Le narrateur rejoint les rangs des spectateurs. Comme eux, il est impuissant. Il ne peut que regarder, réfléchir - se poser une question. Et c'est cette question, lancinante et multiforme, qui donne au récit une résonnance universelle, excédant très largement l'action. Rien d'exotique. Le lecteur est aux prises avec lui-même."
Lu par : Cécile Gavlak
Durée : 5h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36249
Résumé:Elle s'appelle Gillian, elle est belle, elle a du succès, elle est aimée. Mais le début du livre renvoie toutes ces phrases au passé, y compris la première. Est-elle en effet encore Gillian au moment où débute le roman ? N'a-t-elle pas tout perdu, jusqu'au reflet d'elle-même ? Une nuit, au retour d'une soirée trop arrosée, après une dispute, Gillian et son mari Matthias, qui travaillent tous deux pour la télévision, ont un accident de voiture en heurtant un chevreuil sur une petite route qui traverse la forêt. Matthias, qui conduisait, meurt sur le coup. Gillian se réveille à l’hôpital et découvre qu'elle n'a plus de visage. Toute la belle façade s'écroule, tout ce qui faisait sa vie a disparu. Gillian doit subir plusieurs opérations de chirurgie plastique. Elle qui était toujours entourée, admirée, sollicitée, découvre la solitude et l’absence de vraie amitié. Même sa mère n'ose plus aller la voir. Pour Gillian, les jours deviennent des nuits. Après cette première partie, Peter Stamm fait un saut en arrière et raconte la rencontre entre Gillian et Herbert, un artiste qui peint des nus à partir de photos. Croisé sur un plateau de télévision, il finit, après quelques échanges de mails, par photographier et peindre Gillian nue dans son atelier. Ce sont en fait les photos de ce travail qui ont déclenché la dispute fatale avec Matthias. Ce dernier avait en effet découvert par hasard la pellicule dans un tiroir du bureau de Gillian et l'avait faite développer. Outre un fort sentiment de culpabilité, Gillian en retire l'idée que l'art peut tuer, mais aussi la conviction que sa vie n'était jusque-là qu'une simple mise en scène fondée sur les apparences. La troisième partie nous emmène sept ans plus tard. Herbert traverse une crise existentielle. Incapable de peindre depuis plusieurs années, il a finalement accepté un poste de professeur aux Beaux-Arts. Un jour, il reçoit l'invitation d'une fondation culturelle dans les montagnes de l'Engadine, qui lui donne carte blanche pour faire une exposition. Après de longues hésitations, il finit par accepter, d'autant plus que sa compagne, avec qui il a un petit garçon de sept ans maintenant, vient de le quitter. C'est là qu'il retrouve Gillian qui, après sa guérison, a fui le monde des médias et a trouvé un travail d'animatrice culturelle, loin de la ville et de ses attraits, dans le centre de loisirs qui jouxte la fondation. Peter Stamm est trop bon romancier pour confier cette rencontre au hasard : c'est en fait Gillian (qui se fait désormais appeler Jill) qui a convaincu le directeur du centre culturel d'inviter Hubert et de lui proposer de faire une exposition. Si tous les jours sont des nuits quand l'amour disparait, les nuits peuvent devenir des jours quand le bonheur d'être ensemble est là, pour reprendre les dernières lignes du sonnet de Shakespeare mis en exergue au début du livre. Mais Peter Stamm sait aussi éviter les pièges des réconciliations prématurées, c'est le prix de la liberté de ses personnages qui ne réagissent pas toujours comme on l'attend. Ici, la vie n'est pas un songe, elle est un jeu dont on doit maitriser les règles pour ne pas se faire rejeter. Mais dont on peut aussi rejeter les règles, si on en a le courage.
Lu par : Alain Freudiger
Durée : 3h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20521
Résumé:André Pastrella est à Joseph Incardona ce qu'Arturo Bandini est à John Fante : un alter ego par lequel l'auteur - avec générosité et un pessimisme ironique - relate les vicissitudes d'un antihéros qui lui ressemble. On y passe à la moulinette le monde du travail, l'amour, le sexe, la solitude des night-clubs, et cette nécessité qui s'impose comme une bouteille jetée à la mer : devenir écrivain. Entre strip-teaseuses impavides, patrons foireux et voisins récalcitrants...